samedi 26 décembre 2009

COMPOSITION NON-COMPOSITION // JACQUES LUCAN

COMPOSITION NON-COMPOSITION
JACQUES LUCAN, architecte

Conférence du 3 décembre 2009

Intervenant
Jacques LUCAN, architecte, Professeur à L'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de la Ville et des Territoires à Marne-la-Vallée, Professeur à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne.

lundi 21 décembre 2009

L'EXPOSITION A LIEU AU CAUE DU BAS-RHIN

<< L'EXEMPLE DANOIS>> - Vers une économie privilégiant léfficience énergétique et´l'éco-énergie


document COP15 _ COPENHAGEN

L’expérience danoise montre qu’une politique énergétique volontaire et persévérante, mettant l’accent sur une meilleure efficience énergétique, permet de maintenir une croissance économique forte tout en réduisant la dépendance aux carburants fossiles et en protégeant l’environnement.

En termes de production, le Danemark est l’un des utilisateurs d’énergie les plus efficients si on le compare aux autres Etats membres de l’UE et pays de l’OCDE. Ceci vaut également pour les émissions de CO2 par rapport à la production. En dépit d’une consommation d’énergie relativement faible, le Danemark compte parmi les pays de l’UE et de l’OCDE qui réduisent le plus efficacement, de façon continue, leur dépendance énergétique et leurs émissions de CO2. A l’échelle internationale, le Danemark appartient donc à un groupe de pays se caractérisant par des intensités énergétique et CO2 relativement faibles, qu’il a su par ailleurs réduire davantage que la moyenne depuis plus de 25 ans.

Depuis 1980, l’économie danoise a connu une croissance de 78 % alors même que la consommation d’énergie restait relativement constante et que les émissions de CO2 diminuaient. Cette évolution reflète une meilleure efficience énergétique et CO2. Une majorité de pays témoignent d’améliorations sous-jacentes de leur efficience énergétique et CO2, mais l’amélioration obtenue par le Danemark est parmi les plus importantes de la zone OCDE.

Par ailleurs, la composition de la consommation d’énergie au Danemark a beaucoup changé à la suite de mesures politiques visant à promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables. Aujourd’hui, celles-ci représentent plus de 19 % de la consommation finale d’énergie du pays.1

Ceci a augmenté la sécurité de l’approvisionnement énergétique et contribué de façon importante à l’atteinte par le Danemark de ses objectifs climatiques. De 1990 à 2007, l’activité économique a progressé de plus de 45 % au Danemark alors que les émissions de CO2 diminuaient de plus de 13 % (chiffre corrigé pour tenir compte des fluctuations climatiques et de l’échange transfrontalier d’électricité).

Ce document présente la manière dont le Danemark est parvenu à maintenir sa croissance économique sans quasiment augmenter sa consommation d’énergie et en réduisant ses émissions de CO2.

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EL BRILLANTE 3D // LABORATOIRE 0.2

groupe evo[i]lusion

3D: C'est l'un de 4 laboratoires qui ouvre l'Atelier Vivencial [TV] pour générer des projets de restructuration urbaines -architectoniques destiné à les secteurs émergentes. Cette atelier offre une alternative diffèrent de comprendre les phénomènes urbains, il stimule la reconnaissance de déficiences de structure, il évalue la possibilité de réorganiser la dynamique urbaine et établit des processus de travail avec la communauté dans l'obtention de réponses urbaines - architectoniques.







ROYKSOOP - REMIND ME

LA BEAUTÉ DE LA VILLE: LIMA01


écrit par
Juan LUJAN

La ville est un organisme vivant qui se développe et augmente sa complexité. Comme tout organisme, elle grandit, elle consomme de l’énergie et elle produit des gaspillages. Dans un processus continu elle se produit elle-même.

La ville évolue, c’est-à-dire, elle s’adapte aux conditions de ceux qui l’habitent, en transformant et en modifiant leurs caractéristiques. C’est aussi bien que nous pouvons observer, tout au long de l’histoire, comme les villes modifient leur structure pour être capable d’accueillir de nouvelles fonctions.

La ville a déjà laissé l’image de objet statique pour celui un d’organisme dynamique. Pour cette raison ce n’est pas possible d’observer sa beauté seulement en observant ses caractéristiques de forme, d’ordre, de dimension, de proportion, etc. Il faut reconnaître la complexité de la ville et avec elle, sa structure, son organisation et l’interaction des elements de la ville.

La beauté de la ville apparaît devant nos yeux comme l'émergence de l'interaction de beaucoup de structures en constante organisation que nous pouvons observer dans leur magnitude réel, en fonction de ce que nous savons d’elle.

Voir la beauté de la ville c’est comprendre qu’elle n’est pas un système isolé sinon, un système à l’intérieur d’une gamme complexe de systèmes qui constitue le grand réseau des villes. Par conséquence, la ville est globalité et au même temps, élément d’une globalité.

La complexité nous offre les nouveaux paradigmes de beauté. Où le plus important ce n’est pas la forme ou la masse mais, l’interaction des habitants entre eux et des habitants avec les structures qui forment tout ce que nous appelons ville.

Toutes les villes possèdent des systèmes complexes de rapports internes, où chaque élément du système, comme dans une ville, change la fonction d'un autre, c’est-à-dire, si nous changeons la circulation de voitures dans une avenue, tous les avenues annexes seront altérées.

Petit à petit la beauté de la ville se montre à nous, comme le renforcement des rapports entre les parties qui constituent la ville, c’est-à-dire la facilité qu’elle donne à leurs habitants de se développer. De cette manière nous observons la beauté d’une ville; une ville complexe où le chaos organisé est le protagoniste.

VISION DE UN SER UNDERGROUND



Es una gran capa, la bestia le dicen algunos, y nosotros las pulgas que pugnamos un lugar dentro de ella… el jaguar dicen otros, y nuestros barrios sus manchas. La verdad es que cualquiera fuese el calificativo que empleemos, la horrible, la sucia, la calata, la caótica ciudad de Lima, es nuestra y en ella vivimos.

El crecimiento de Lima es inevitable, una de las causas del fenómeno fue la paulatina migración interna que se produjo hacia la capital, explicada, en el mayor de los casos, por las acertadas decisiones del gobierno de turno y las eficiencias económicas de las que somos victimas. Bajo la creencia de múltiples “oportunidades” que se cree alcanzar en la capital.

La migración se ve principalmente reflejada, en el contexto urbano, en el incremento de micro-comercio y micro-empresas con que se ve inundada la capital. Actualmente, no es extraño ver tantas combis en las calles luchando por un pasajero, puestos informales de venta de comida, expendiendo alimentos hasta de un sol el plato, vendedores de caramelos que inundan los carros diariamente, y de los que somos victimas a todas horas así como de los asaltos, prostitutas vendiendo su cuerpo por unos cuantos soles para mantener a su familia, desiertos abarrotados de esteras y banderas, luces nocturnas que ascienden hasta la parte más altas de los cerros, drogadicción y piratería. Todo esto generado directa o indirectamente por la cantidad excesiva de habitantes que viven dentro de ella, la calata, la sucia, la horrible, nuestra Lima.

La ciudad de Lima se encuentra en constante expansión. Una gran gota del tintero que se esparce por todo el papel, “nuestro valle”, la que posiblemente borre todo lo ya antes escrito. Lima como ciudad no tiene fin, tiende al infinito a lo desconocido, talvez exista un día en el que al horizonte solo se distinga nada más que ciudad, y el hombre colonizador, el hombre que somete a la materia y a la naturaleza ¿talvez se sienta realizado?.

El hombre culto busca y plantea soluciones (que no solucionan), desarrolla planes (que no planifican). Como ajeno al problema, no lo descifra, no lo entiende, entonces uno piensa… ¿realmente vives en Lima?, ¿Pulga que vives entre pulgas sobre la bestia y que también pugnas por un lugar sobre ella, la sabes interpretar?
El comportamiento humano, tan extraño como impredecible en algunos casos, es espontáneo como espontánea es su accionar, su desarrollo y su producto.

Producto de este ser, es su familia a si como su número (nueve hijos que mantener, cinco bocas que alimentar y una amante a la que salvaguardar). Entonces nos encontramos con su espontáneo accionar…

-Atención, atención¡¡¡ el ceviche-móvil le ofrece a su distinguida clientela la más variada selección de platos marinos, venga y pruebe… ah y si no le gusta … no paga¡¡¡
- Cinco, cuatro, uno, no te chantes¡¡¡… vamos chato pisa, pisa... al fondo hay sitio…permiso tia , el pasaje es 1.20 hasta la Tupac… y con sencillo.
- Que¡¡¡ donde escuchaste eso, bacán, bacán, no te olvides de llevar tus piedras y tus botellas de virio (para las molotov), ¿sino como hacemos para espantar a los verdes?… y compra desde ahorita tu estera, llegamos y de allá nadie nos mueve…

… Y dentro de su accionar, desarrolla identidad, desarrolla cultura, se apropia del medio, lo reinterpreta, lo vuelve chicha, lo vuelve Lima. Sale a los cementerios con cervezas a festejar a sus muertos, baila hasta el amanecer con un plato de pollo en la mano y una cumbia en el corazón. Pelea, lucha, defiende su territorio. Trabaja, ahorra, recicla, vende, intercambia, estudia.

Y luego de producir y ahorrar: Construir. Tan espontáneo como original, el peruano, “neo-y así sucesivamente, sin fin.Entonces él se vuelve, muchas veces sin saberlo, en su propio arquitecto. Calculando alturas, organizando espacios, orientando circulaciones, definiendo detalles, seleccionando materiales.

Desarrollando arquitectura tan espontánea como su forma de vida; por que, eso es la vivienda, eso es el conjunto que ellas forman, esa es la ciudad actual, laque se genera diariamente, a todas horas del día, su palpitar es constante su respiración la sentimos, como un animal cansado por los años, respira lentamente, casi asfixiado…
La vivienda, célula del organismo, letra del libro, arena del desierto, es moldeada, y nosotros no podemos hacer mas que ver, interpretar, entender, estudiar, para después realizar, tal vez nuestra misión?.

Cuando las observo no dejo de notar esas líneas que se prolongan al cielo, esas líneas que se tambalean con el viento, esas líneas de acero grado 60, que son como puntos suspensivos de la vivienda, esas líneas que me indican continuará…

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